Bonsoir

joelle 04 octobre 2015 à 10:45
pour moi un retard est une absence, la complicité a toute heure ces ne faire qu'un

Lodoucele 09 octobre 2015 à 14:29
Ce doit probablement être confortable de vivre chacun chez soi, en ne s'encombrant pas de tout ce qui est devenir pesant chez l'autre au quotidien...On garde son autonomie, son indépendance, on reste le seul maître à bord et on ne partage que le "meilleur" avec l'autre. Pourquoi pas?

Personnellement, je préfère le "tout ou rien", je souhaite partager le quotidien de mon bien-aimé, vivre les moments sereins ou difficiles avec lui et non à côté de lui, quelques rues plus loin!... Être à ses côtés aussi longtemps que de l'Amour circulera entre nous. Cela ne me dit rien une vie amoureuse nomade.
Les petits désagréments de la vie commune en font aussi le charme et cimentent la complicité.
Mais c'est mon point de vue, du moment que chacun est comblé et en harmonie avec ses convictions intimes :)

clifordle 23 octobre 2015 à 13:51
Chacun chez soi : l'idéal ! Surtout qd il y a de part et d'autre les enfants à la maison.

Night.Divele 24 octobre 2015 à 16:49
Je suis comme Lodouce, adepte du tout ou rien. J'ai tendance à penser que vivre chacun chez soi reflète une certaine peur de l'engagement amoureux. Une alternative, toute provisoire, est possible, avoir chacun son chez soi .... et vivre à deux chez l'un et chez l'autre.

madame59le 25 octobre 2015 à 17:04
dans un premier temps, vivre à deux chez l'un ou chez l'autre et envisager tout doucement une vie à deux en ayant pris le temps de se connaître...

Lodoucele 26 octobre 2015 à 08:33
très sage en effet, du bon sens et de la réflexion avant tout engagement...petit à petit l'oiseau fait son nid, brindille par brindille :))

Night.Divele 27 octobre 2015 à 08:44
Ceci dit, rien n'est vraiment encore dit.... Entre penser un avenir et se donner, et le construite, il y a tout un monde. Ou Plutôt des mondes ..... Arriver à concilier le monde de l'autre et son monde à soi, Chaque relation contient les germes de son propre rythme.

Night.Divele 27 octobre 2015 à 09:09
Et ce sera la cohabitation qui nous libérera de notre questionnement sur la réalité et de cette appréhension d'y être confrontés. Nous aurons notre réponse quant à la question: mirage ou oasis ?

Lodoucele 27 octobre 2015 à 09:52
les circonstances révèlent les êtres...ou ne pas être...chaque jour de nouvelles possibilités de construire ou détruire. Elargir l'espace de sa tente pour accueillir l'autre dans sa différence: rêve ou utopie??? :))

Night.Divele 27 octobre 2015 à 21:19
Dans mon matériel de randonnée, je dois bien avoir une tente deux places !

Ylangle 28 octobre 2015 à 02:04
Garder son chez soi,vivre un peu chez l autre,vivre à deux chez soi de temps en temps...
Ça pimente,ça entretient ,ça garde l' envie neuve.
Garder un chez soi,une nécessité quand il y a des enfants chez l' autre ou chez soi.
L' inconvénient, le sac toujours dans la voiture,même si certains objets se demultiplient.

Mais je crois surtout,que si la relation coule de source,le nid se fera à droite ou à gauche, ou deux nids, mais surtout. ...que amour n' égale pas toujours, et qu' en avançant dans la vie, après une première vie ou même deux vies affectives...Garder son petit nid est securisant.

ephilaeele 08 novembre 2015 à 04:37
aujourd'hui, j'opte pour garder son chez soi... l'expérience m'en a convaincue et il faut du temps pour s'engager... fini les emballements intempestifs !

Ylangle 08 novembre 2015 à 07:14
Oui oui oui,j acquiesce. ...

emerhommele 11 mars 2017 à 09:57
Il y a surement une part de vérité universelle là dedans, rester chez soi permet de sauvegarder chacun pour poursuivre la route plus loin, mais cela donne une représentation égotiste du couple que personnellement je ne partage pas.
Je sais bien les difficultés qu'il peut y avoir à rencontrer quelqu'un après une tranche de vie, et souvent des enfants. De part et d'autre, les histoires peuvent être lourdes et difficiles, mais croit-on vraiment que l'on peut s'engager pour partie dans une relation ?
Une partie de plaisir lorsque tout va bien, alors on se voit, on s'apprécie, on s'aime et tout va bien, et une partie plus solitaire, où l'on profite seul(e) de la vie, de la solitude, de ses amis, de ses enfants ?

Franchement, je ne vois pas pourquoi la notion du couple aurait évolué à ce point en quelques générations, car le modèle dont j'ai hérité et vu en oeuvre sous mes yeux par mes parents, (sans doute est-ce la même chose pour les vôtres), c'est plutôt un couple uni ou pas, mais ensemble tout le temps et sous le même toit.
Est ce facile à vivre ? surement non, car il y a des moments difficiles, voire très difficiles, mais l'intérêt d'une relation, ce n'est pas tant quand tout va bien, que lorsque tout va mal.

L'âge venant, le fait de vivre seul chez soi (même en couple) peut conduire à des inconvénients fâcheux, parce que l'autre justement n'est pas là pour prendre soin de nous. Situation de solidarité évidemment, qui doit fonctionner dans les deux sens.

Serions nous tellement forts que nous pourrions supporter seuls la maladie, la détresse, les peines, la mort ?
Moi je ne le crois pas, l'intérêt d'être en couple, c'est que justement à deux on affronte mieux les difficultés.

Encore faut-il être prêt à les partager à un quasi inconnu, qui a beau être très séduisant, a forcément raté toute une partie de vie.

Mais ça c'est personnel, et c'est en fonction de sa propre capacité à être lucide sur soi-même.

Aimer, c'est aussi avoir confiance en l'autre.. Ce n'est pas avec n'importe qui, que cela peut se trouver.

Alors si vous avez une occasion, ne la ratez pas !!